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Évaluation des données de recensement au Sénégal en utilisant les observatoires de population

Cheikh Tidiane Ndiaye, Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD)
Bruno Masquelier, Université Catholique de Louvain
Ndèye Binta Diémé, Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD)
Gilles Pison, French National Museum of Natural History and Institut National d'Études Démographiques (INED)
Ibrahima Diouf, Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD)
Valérie Delaunay, Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Lucie Lecomte, Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Samba Ndiaye, Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD)
Ousmane Ndiaye, Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Paul Senghor, Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Pape Niokhor Diouf, Institut de Recherche pour le Développement (IRD)

L’évaluation de la qualité des données des recensements du Sénégal de 2002 et 2013 est réalisée en prenant comme référence les trois sites de suivi démographiques du pays (Niakhar, Mlomp, Bandafassi). Nos hypothèses sont que les données des observatoires de population sont plus précises que celles des RGPHs, et que la collecte numérique a amélioré la qualité des données. Les indicateurs de fécondité et ceux relatifs à mortalité des enfants issus des recensements sont relativement proches de ceux des observatoires. L’effet de l’usage du PDA n’est pas net puisque les niveaux de mortalité déduits du recensement de 2013 sont plus proches de ceux des observatoires, mais les effectifs de population et les niveaux de fécondité cadrent mieux avec le recensement de 2002. L’appariement au niveau individuel et les analyses complémentaires qui vont suivre permettront de se faire une meilleure idée sur la qualité des données en 2013.

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Presented in Session 110: Census and Civil Registration Systems