English 
Français

Déterminants de la pratiques de mutilation génitale féminine dans les zones à haute prévalence

Alphonsine Ali Kouadio, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Hamady Diallo, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Lazare Sika Glebelho, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)

La Côte d’Ivoire enregistre un niveau de la pratique de l’excision des plus élevés en Afrique de l’Ouest. Malgré son interdiction par la loi, en Côte d’Ivoire, cette pratique connait une augmentation, le pourcentage de femme excisée est passé de 36.4% en 2006 (MICS, 2006) à 38.2% en 2011 (EDS, 2011-2012). Il apparait clairement que cette pratique demeure dans les comportements sociaux et culturels des populations. Dans un contexte de santé publique, les mutilations génitales apparaissent comme un problème majeur d’actualité dont la présente s’est assignée comme tache. L’objectif de cette étude est d’identifier les facteurs sur lesquels les décideurs devront agir pour mettre réduire cette pratique dangereuse au bien être de la femme mais également proposer des pistes d’actions efficace de lutte contre cette pratique. A cet effet, les analyses sont basées sur les données de l’enquête sur les MGF dans les zones à haut risque en Côte d’Ivoire.

  See paper

Presented in Poster Session 3