Commerce du sexe dans les capitales régionales ivoiriennes : entre pratique et habitude
Lazare Sika Glebelho, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Bea Vuylsteke, Institut de Medecine Tropicale Anvers
Abdul Rayan Dosso, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Alphonsine Ali Kouadio, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Kassoum Ouattara, Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d'Economie Appliquée (ENSEA)
Constant Nda, United Nations Population Fund (UNFPA)
Le gouvernement ivoirien, avec l’appui financier et technique des partenaires au développement, s’est engagé dans des programmes de santé destinés à lutter contre les IST et le VIH. Ces programmes visent à susciter la prise de conscience des risques liés aux rapports sexuels non protégés surtout chez les PS dont le métier est le commerce du sexe. Il s’agit surtout de promouvoir des comportements plus responsables et à moindre risque tels que l’usage systématique du préservatif et le recours au test de dépistage. Contenu de la gravité de la situation épidémiologique des PS, il est alors nécessaire d’analyser leurs attitudes vis-à-vis de l’épidémie d’où l’intérêt de cette étude. Les données utilisées sont issues des enquêtes transversales sur les Connaissances, Attitudes et Pratiques (CAP) menée depuis 1998 à 2011. Les analyses descriptives et multivariées permettent d’identifier les déterminants de l’usage systématique du préservatif et de l’exposition au test de dépistage.
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Presented in Poster Session 3